Les experts réfléchissent depuis hier sur la vérification financière, informatique et sur les performances en prélude à l’assemblée générale du CREFIAF qui s’ouvre mercredi.
Les experts réfléchissent depuis hier sur la vérification financière, informatique et sur les performances en prélude à l’assemblée générale du CREFIAF qui s’ouvre mercredi.
Un atelier de planification stratégique du Conseil régional de formation des institutions supérieures du contrôle des finances publiques de l’Afrique francophone subsaharienne (CREFIAF) s’ouvre demain à Yaoundé. Il est placé sous la présidence du ministre camerounais délégué à la présidence de la République chargé du Contrôle supérieure de l’Etat, David Siegfried Etame Massoma. Cette rencontre est une occasion pour les participants, venus des 23 pays membres, de finaliser et d’approuver le projet de plan stratégique 2013-2017 du CREFIAF. En fait, il s’agit d’apporter un appui au développement institutionnel et professionnel des institutions supérieures des pays membres de ladite organisation.
En prélude à ces assises, une soixantaine de délégués issus des Institutions supérieures de contrôle des finances publiques (ISC) francophone d’Afrique au Sud du Sahara réfléchissent depuis hier sur la vérification financière, informatique, des performances et sur la révision du statut de l’organisation.
Créé en 1997 à Yaoundé à l’intention des chefs des institutions supérieures de contrôles des finances publiques francophones d’Afrique au sud du Sahara, le CREFIAF a entre autres missions, promouvoir l’indépendance et l’autonomie de ses institutions; former des spécialistes en vérification financière afin d’aider les ISC à améliorer leurs capacités de formation et l’échange d’informations, et contribuer à l’informatisation et au développement informatique au sein des institutions membres. Trois organes statutaires sont chargés du suivi de ses activités. A savoir l’assemblée générale, le Comité régionale de renforcement institutionnel (CRRI) et les commissions techniques ou groupes de travail technique.
Source: Cameroon Tribune du 30 mai 2011
Un article de Sinclair Mezing
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