Galilée reçoit une visite d’un député pour tisser des liens avec le Cameroun
L’association Galilée était au Cameroun il y a trois mois. Pendant deux jours, vendredi et samedi, le Cameroun … est venu à Galilée, en la personne de Vincent de Paul Emah Etoundi, député de Yaoundé. Galilée reçoit une visite d’un député pour tisser des liens avec le Cameroun
L’association Galilée était au Cameroun il y a trois mois. Pendant deux jours, vendredi et samedi, le Cameroun … est venu à Galilée, en la personne de Vincent de Paul Emah Etoundi, député de Yaoundé.
Pourquoi ? « Dans la perspective d’un travail partenarial, évoque le Camerounais ». On a découvert en allant au Cameroun il y a trois mois qu’on se trouvait face à des gens qui sont porteurs des mêmes projets de société que nous, explique Jean-Paul Moutiez, le directeur de Galilée. Le contexte et la culture sont différents, mais on a les mêmes perspectives. On a également des échanges avec l’IGAC (institut pour la gouvernance en Afrique centrale), qui travaille avec de jeunes chercheurs, on échange les expériences, les pratiques. C’est très enrichissant pour Galilée. » L’alter ego de Galilée existe déjà au Cameroun. « C’est une association soeur, elle est née de notre voyage là-bas », ajoute Jean-Paul Moutiez. En septembre, un technicien camerounais viendra trois semaines se former dans l’Audomarois. « Il y a des liens qui peuvent prendre plusieurs formes, mais on a convenu de se voir au moins une fois par an », indique Jean-Paul Moutiez. Même si, affirme Vincent de Paul Emah Etoundi, « le problème ne se pose pas en termes de rencontres. On travaille en permanence, on peut communiquer via Internet, il faut surtout se mettre au travail ». Et oeuvrer dans plusieurs domaines : social, emploi, encadrement des jeunes, insertion, aide aux populations démunies.
Pendant deux jours, Vincent de Paul Emah Etoundi devait rencontrer nombre d’interlocuteurs audomarois, pour affiner les échanges. « On découvre les mêmes soucis ici et chez nous vis-à-vis de l’encadrement des populations », continue-t-il. L’ambition est, ensemble, de répondre à des problématiques communes.
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