Les élus du peuple ont pris part hier vendredi 20 novembre 2020 à un atelier d’information et de sensibilisation sur les problématiques relatives à la réduction des risques de catastrophes (RRC). Ledit atelier s’est tenu en marge des travaux de la 3e session ordinaire annuelle ayant débuté le 12 novembre dernier à l’hémicycle du palais des congrès. Organisé Sous le Haut Patronage du Très Honorable Président de l’Assemblée Nationale par l’Honorable Vincent de Paul EMAH ETOUNDI, Président du Réseau des Parlementaires pour la Réduction des Risques de Catastrophes (REPARC).
La gestion des risques de catastrophes consiste à penser et adopter les processus de planification nécessaires, afin de renforcer les capacités permettant à un pays de se préparer et de répondre face aux catastrophes à venir. L’objectif de l’atelier d’hier était d’entretenir les élus du peuple sur la réduction de l’impact des catastrophes sur le plan social, économique et environnemental.
Rappelons que, le 13 novembre de chaque année, se célèbre la journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes. Le but de cette journée est sans doute de rendre les Etats plus résilients face à ces risques de catastrophes. Au Cameroun, la gestion des risques de catastrophes est coordonnée et gérée par le Ministère de l’Administration Territoriale à travers la Direction de la Protection Civile (DPC). La DPC a pour principale mission l’initiation et la facilitation de la mise en œuvre des politiques et des programmes de gestion de catastrophes. L’atelier d’hier était d’une importance capitale pour les députés, car la réduction des risques de catastrophes est chaque année budgétisée par l’Etat du Cameroun ; et cette séance de travail a intervenue lors de la session relative à l’examen et l’adoption du budget de l’Etat pour le compte de l’année 2021. Les parlementaires à leur tour ont salué les actions humanitaires déployées face à ces catastrophes, et ont encouragé le gouvernement dans le renforcement des initiatives et la résilience des communautés face aux risques de catastrophes.
Par Lionel Etoundi Redacteur Consultant #CICM
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