Dans un entretien accordé au périodique « VISA » l’honorable Emah Etoundi dénonce encore ce phénomène qui gangrène notre jeunesse en estimant qu’il faut combattre le mal à la racine. Décourager ainsi toute velléité d’expatriation chez les jeunes en leur offrant des conditions d’épanouissement locales en lieu et place de ce saut périlleux dans l’inconnu.
Nous-mêmes en notre qualité d’élu du peuple avons le devoir d’axer notre action parlementaire autour de la satisfaction des populations, avec une priorité pour la jeunesse.
La participation des jeunes au développement n’est pas seulement une affaire de compétence technique, elle suppose également un engagement personnel de caractère civique…
…le Bonheur est chez soi. Sinon, comment accepter de voir nos enfants, nos frères et nos sœurs mourir lors de ces tentatives visant à joindre ce prétendu « Eldorado » sans réagir…”
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